sábado, 1 de junho de 2013

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«Ne m’écris pas de façon trop vague, n’hésite pas à me dire que le rideau de notre fenêtre a de nouveau brûlé et que les gens nous regardent de la rue.» Nous sommes en 1951 - la troisième année d’un échange épistolaire qui s’étendra sur presque vingt ans - lorsque l’étudiante autrichienne Ingeborg Bachmann adresse ces mots au poète Paul Celan.
http://www.magazine-litteraire.com/critique/non-fiction/temps-du-coeur-correspondance-ingeborg-bachmann-paul-celan-31-10-2011-31607#.TrcHlbkdIlc.facebook

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